Notices Biographiques
1- Justima est celui qui a co-créé le Centre Technique St Gérard. Il l’a co-créé avec le Père curé Catholique de St Gérard Joseph Classens et avec son père Justin de la Ste Famille d’Haïti, qui vient du bas Plateau Central. Justima Il est celui qui a le premier équipé et le premier co-dirigé : Le Centre Technique ST Gérard de Carrefour Feuilles. Depuis son jeune âge, Justima est connu dans la zone pour une sorte de capitaine d’équipe, en tout et pour tout,qui élève la barre et fait jouer tout co-équipier à un niveau de performance plus élevé. Il a pris des jeunes gens de Carrefour Feuilles, au coeur de l'un des quartiers populaires les plus importants de la capitale, et a commencé avec eux une expérience qui a réussie. Il leur a donné une opportunité de devenir de chômeurs, producteurs. L’un d’eux est toujours le directeur très réussi du centre en question, qui est devenu l'une des plus grandes écoles professionnelles du pays. C’est à partir de ce moment qu’il a commencé à être un praticien et à créer plutôt qu'à théoriser, surtout dans les quartiers populaires.
2- Justima est un ancien journaliste-présentateur vedette de nouvelles à la radio et à la télé. Il est un ancien homme de théâtre, dramaturge, présentateur, metteur en scène et réalisateur de spectacles. Il a essayé le cinéma. Il a coordonné la première équipe de Radio Antilles Internationale en 1984-1985, qui comprenait entre autres à l'époque le Major Carrel Occil qui est devenu après Lieutenant Colonel des FADH (Forces Armées d'Haïti) et Commandant Militaire du Département du Nord. Cette équipe a essayé, sous l’impulsion du Directeur Jacques Sampeur, un format nouveau d’édition de nouvelles de facture internationale jusque là non égalée en Haïti.
Cela fait plus de 20 ans qu’il n’est plus à Télé Haïti, mais le souvenir de sa présence d’écran, qu’il était télégénique, de sa verve et timbre de voix, le présentateur très remarqué de Télé Presse (les nouvelles télévisées du soir) qu’il a été, et l’intervieweur des grandes ligues qu’il s’est révélé, sont des images qui restent encore gravées dans la mémoire de beaucoup de téléspectateurs Haïtiens. C’est à partir de cette plateforme télévisuelle que le secteur bourgeois a fait connaissance avec lui et lui avec eux.
Rédacteur en chef et agissant comme Directeur de la Salle des Nouvelles de la Radio Nationale pendant 3 mois, en 1987, il a doté la radio d’état de son premier code de rédaction. Ce qui était très important et était une première en Haïti. Puisque la tendance de presque toutes les salles de nouvelles jusqu’à présent en Haïti, c’est de fonctionner sans un code de la rédaction, sans ce code linguistique (grammaire, lexique) créole ou français particulier à cette rédaction qui dit quels genres de tactiques dans la cueillette, le tri et l’analyse de l’information et quels genres de mots les journalistes peuvent employer pour l’honneur, le sens de la morale et du bon goût et de l’éthique, et de la probité intellectuelle en tant que marques de professionnalisme de cette rédaction. Ce genre de code qu’a préconisé Justima et qui manque encore dans nos médias, c’est pour assurer des bornes sûres et justes aux pulsions premières de tout journaliste. Ancien membre du comité directeur de la première AJH (Association des Journalistes Haïtiens) en 1986-87 après le départ de Duvalier, il a été aussi élu la même année à Caracas au Vénézuéla par ses confrères journalistes latino-américains Secrétaire Exécutif de la FELATRAP (Federacion Latino Americana de Trabajadores de Prensa).
Justima a pris des risques seul avec son équipe de télévision (la seule à l’époque— Télé Haïti) dans les rues désertes et dangereuses de l’après 7 Février 1986 quand il n’y avait pas de modèle comment survivre et réaliser des reportages aussi dangereux. Il lui a été décerné le Prix du Meilleur Speaker de nouvelles par la Société Nationale des Journalistes Professionnels d’Alix Damour et celui du Meilleur et Plus Prestigieux Animateur d’Emissions Politiques. Il a présenté des conférences sur Haïti, notamment à Aruba en 1987, au Singapour, à Hong Kong en 1995, etc. C’est à partir de sa démonstration dans les médias de sa capacité de pouvoir débattre des grandes questions avec les meilleurs hommes politiques Haïtiens que la classe moyenne a commencé à le considérer, dès 1986, comme l’un des plus beaux fleurons de l’intellectualité haïtienne.
3- Justima, né d’une famille de malheureux qui se débrouillaient, a percé économiquement tout en mettant sa percée au service des autres. Il est né le 21 Février 1966 à la Maternité Isaïe Jeanty de Chancerelles qui fait partie aujourd'hui de la fameuse commune de Cité Soleil. Ses proches le taquinent avec un lointain parallèle qu’ils semblent voir entre lui et le héros national François Cappoix dit Cappoix La Mort né en 1766 et qui en 1806 avait 40 ans comme lui-même, Justima, né 200 ans après et qui a eu 40 ans en Février 2006. Ses proches qui le taquinent le font par appréciation pour sa bravoure voilée et mâle courage pour oser affronter des défis et des problèmes qui sont là depuis 200 ans et que tout le monde fuit à cause de leur énormité et de la possibilité réelle d’échouer. Justima répond tout simplement "M-renmen peyi m. M-tonbe pou peyi m".
On dit que Justima est un homme d’une hauteur mystique et spirituelle insaisissables, mais très humble pour quelqu’un de ce quotient intellectuel très élévé, qui a été mesuré à supérieur à 149 par son psychologue lors d'une évaluation de son cerveau en 1999 suite à un accident de voiture au début de l'année.
Il a été à l’école à presque 7 ans, un peu tard comparé aux enfants de son âge. Il a été droit à la maternelle et comme il excellait, on a du lui faire "sauter" des classes en primaire. Il dit souvent « c’est sur les genoux de ma mère que j’ai appris à lire et à écrire ». Il appelle sa mère Marie Céline de La Vallée de Jacmel, ‘Madame Ma Mère’ et elle vous dirait "que jamais Emmanuel n'a osé jusque là lever sa voix sur moi". Leur amour, mère et fils, ou dépendance l'un de l'autre est si fort que cela dès fois rend jaloux ses 8 autres frères et soeurs. Justima avait 14ans,il lisait déjà devant une foule forte de plusieurs dizaines de milliers, faisant généralement la lecture pour la Ste Famille d’Haïti, l’organisation catholique laïque qui il ya 20 ans était encore plus puissante que le mouvement charismatique du jour. C'est cette organisation qui lui a insuflé le souffle de l'engagement chrétien humain et de l'engagement chrétien social et de la responsabilité,en matière de foi agissante et non de foi morte, de parachever l'oeuvre de la création dans tous les domaines qu'il opère. C'est ce qui a servi à le conduire à la vie publique et qui lui a rendu, dans la pratique, confortable devant les grandes foules. "Les méchants triomphent quand les bons se mettent à côté. L'immoralité triomphe quand les gens de moralité se mettent à côté. L'incompétence triomphe quand les gens compétents se mettent à côté" repète t-il souvent.
Il est un produit de l’école nationale et a fait ses études primaires à l’école Jean XXIII du Bicentenaire de Port-au-Prince chez les frères du Sacré Cœur. Ces frères sont également responsables de ses études secondaires faites au Collège Canado-Haïtien où jusqu’à présent il continue de jouir d’une popularité à nul autre pareil parmi les anciens alumni du Canado et surtout même parmi ceux là qui n’étaient même pas de sa promotion. L’école dite nationale en Haïti est une école souvent dirigée par des religieux pour le compte de l’état haïtien, qui prend en main des enfants dont au moins les 2/3 sont issus de familles de petites bourses. Même quand, souvent, des gens aisés placent aussi leurs enfants dans ces genres d’école à cause de la réputation que jouit toute école dirigée par des religieux.
Reconnaissant de l’éducation primaire presque gratuite qu’il a reçu de l’école nationale, Justima a essayé d'introduire en 2001 et dans plusieurs villes du pays un programme qui épaulerait et ré-inventerait l’école primaire fondamentale pour les besoins de l'Haïti d’aujourd’hui et de demain. Ce programme national d'appui au système éducatif qu'il baptisait « Les Enfants de La Relève », était un mouvement de simples citoyens patriotes pour la Relève dans l’éducation et dans les salles de classe. Ce mouvement de simples citoyens a tenté d’atteindre, à partir de l’année académique 2000-2001 et notamment à Port-de-Paix et dans le Nord-Ouest parmi les endroits les plus dépourvus et les plus abandonnés d'Haïti, les 5 objectifs que voici:
1) Moderniser en changeant la nature et en élevant le niveau de cette éducation sous-optimale, bas standard et à rabais que l'on enseigne aujourd'hui dans nos écoles par une concentration, désormais, sur les 5 matières de base clefs a) concentration sur les sciences, b) concentration sur les mathématiques, c) concentration sur les langues, d) concentration sur l’histoire y compris l'étude des cas de figures dans les domaines de l'histoire économique, sociale, commerciale et industrielle de chaque commune, de chaque département d'Haïti ainsi que l'histoire comparée avec des pays ciblés pour leur similitude ou différence avec notre dégré d'évolution et e) enfin concentration sur l’éducation sociale pour suppléer aux parents absents et à l’effondrement des valeurs sociales. Cette éducation sociale enseignerait le sens de l’effort, le respect du droit des autres, et du bien des autres, la convivialité et tolérance, le sens de la discipline et du devoir,le comportement rationnel et éclairé ou maîtrise de soi,l’instinct collectif ou associatif, le sens de l’équipe, la relève ou le service civique et enfin le sens de communauté et de la patrie commune afin de lever une nouvelle classe de citoyens.
2) Opérer une mise à niveau générale des professeurs par un mouvement sans précédent de ré-entrainement massif de tous ceux qui enseignent quelque chose en Haïti à quelque soit le niveau et, et élever parallèlement la performance académique de tous ceux qui apprennent quelque chose au pays jusqu’à ce que l’élève ou l'étudiant le moins performant ait au moins 70% sur 100 pour moyenne, dans chacune de ces concentrations. Ce serait la barre de l'excellence du pays tout entier qui s'éléverait si l'on n'acceptait plus 50 sur 100 comme moyenne de passage et qu'il faille se décupler maintenant, non pas pour qu'une petite élite ait 70 sur 100 mais la masse de ceux qui vont à une école quelconque. C'est Haïti qui a 200 ans à rattraper et c'est elle qui devrait consentir le plus d'efforts pour se préparer et avancer à marche forcée pour ratrapper les pays qui l'ont déclassée et qui n'acceptent pas moins de 70 sur 100 comme moyenne de passage dans une matière pour un étudiant ou èlève moyen.Justima repète ouvent" Vous continuerez à avoir un pays sous-optimal, de bas étage, et en deça de la normale et de tout standard pour autant que vous maintenez un système d'éducation sous-optimale,de bas-étage et en deça de la normale et du plus haut standard."
3) Introduire dans chaque de ces salles de classe des matériels modernes de cours pour professeurs et des matériels d’aide à l’apprentissage comme des pictogrammes, des documentaires audio-vidéo de support aux leçons du jour, des cd roms et exercices appropriés à l’ordinateur, des laboratoires de démonstration, etc. Le tout dans une salle de classe rénovée et préférablement climatisée puisque celui ou celle qui étudie tendra à répliquer plus tard sa misère si on le garde et l'éduque dans un milieu misérable. Donc, introduire la grande masse qui étudie à ce qui est acceptable, à la modernité et à la culture digitale.
4) Relever les salaires de tous les professeurs affectés à ce travail à partir d’un supplément qui leur serait fourni régulièrement.
5) Accorder religieusement une subvention aux parents pour aider avec les frais d’écolage de tous leurs enfants qui font partie du programme et accorder une subvention à la direction de chaque école pour les frais de courant, de téléphone, d’internet, et d’un buffet journalier de repas chaud et nutritif pour élèves et étudiants, etc.
Ce programme ambitionnait d’attaquer un problème fondamental par la base, faire des pépinières valables et viables des élèves et étudiants d’aujourd’hui en la relève et en la main d’œuvre qualifiée, spécialisée et multilingue de demain.
4- Justima, un leader visionnaire naturel cité dans plusieurs articles de journaux et ouvrages publiés en Haïti et à l’étranger, est peut-être parmi les plus grands communicateurs (presque du même niveau qu'Aristide) et spécialistes de marketing social de son pays. Il est l'un des rares lorsqu'il communique: il passe; authentique pour la classe populaire, sans insulter l'intelligence de la classe moyenne, et parlant de tout dans un langage connecté à l'exploitation de multiples possibilités nouvelles qui envoute la classe des possédants. Il est parmi ceux à qui l'on se tourne dans les contextes difficiles pour parler à la population: tel rassurer avec le CEP de 1987 et lancer l’Université Notre Dame en 1995 après un embargo.
Mr Viter Juste, le commentateur de l’hebdomadaire Haïtien ’Haïti en Marche’ qui est reconnu pour sa perspicacité, écrit à propos de Justima dans l'édition du 17 Octobre 2001 de ce journal:
Mr Viter Juste de l’Haïti en Marche du 17 Octobre 2001 confirme que pour ceux qui suivaient, Justima y travaillait déjà depuis longtemps avant même d'être candidat à la Présidence juqu'en 2005 et que pour ceux qui l’ont manqué, c’est parce que tout simplement on faisait plus de bruit autour des luttes pour le pouvoir.
Justima qui s'est vu à la tête des simples citoyens du pays qui cherchaient, par un groupe multisectoriel national sur 2004, à recadrer et à recentrer 2004 pour en faire une commémoration moins gouvernementale, et plus nationale et plus significative que seulement organiser des fêtes, et qui concernerait plus le citoyen, est aussi celui qui avait lancé Haïti Corps de la Relève en Mai 2000. C’est ce corps de simples citoyens, qui est plus qu’une version de Peace Corps à l’haïtienne,qui avait motivé aux Etats Unis plus de 25,000 personnes d’origine haïtienne à contribuer directement aux divers fonds pour supporter le peuple américain dans un moment difficile. Ce corps se voulait un corps de citoyens originaires de chaque zone et organisés pour systématiser La Relève pour chaque zone en Haïti et stopper l’hémorragie des cerveaux et des bras que chaque continue de subir. C’est cette capacité collective et coopérative de simples citoyens de 49 zones du pays qui s'est muée durant les élections Présidentielles 2005-2006 en fer de lance du Mouvement des Simples Citoyens pour constituer, momentanément, l'ossature du regroupement Action Démocratique qui porta Justima à la candidature de la Présidence de la République, plus par dépit pour ce que finalement le 1er Janvier 2004 a été, et par impatience, et par devoir.
Au niveau de l’état haïtien, en plus de la radio nationale, il a été Consultant de la Direction Générale à l’OFATMA (Office d’Assurance du Travail, Maladie et Maternité). Au premier CEP fonctionnel de 1987, il était plus qu’un simple Directeur Adjoint des Relations Publiques, il était le premier Porte-parole de l’organisme électoral qui équilibrait journellement le rôle du CEP avec ses devoirs envers le gouvernement d’alors. On l’a retrouvé proche d’Emmanuel Ambroise, membre du conseil du CEP, qui avait fait de lui son protégé et qui comptait sur son doigté politique en qualité de son Conseiller Politique parce que Justima était en de bons termes avec tous les acteurs politiques d’alors et comptait aussi sur son sens des campagnes de persuasion de masse au pays.
Dans le monde des affaires, Justima s’est révélé un virtuose du marketing des produits financiers aux Etats-Unis. Il y créa en 1994 sa propre firme, la JHJ qui est connue en Haïti depuis 1995 plus spécialement pour avoir réussi le lancement du projet de l’UNDH (Université Notre Dame d’Haïti) pour la Conférence Episcopale d’Haïti quand la population qui sortait tout juste d’une période d’embargo devrait être persuadé de la crédibilité qui entourait ce projet.
Justima a aussi acquis de l’expérience dans le domaine industriel, ayant piloté des projets complexes de réorganisation et de changement planifié, ayant développé le phénomène participatif des employé dans les entreprises, ayant augmenté les capacités des employés à faire plus et mieux et à moindre cout, et ayant systématisé des modèles de travail pour faire accroître la productivité et le rendement des équipes. Ces derniers temps, il s’intéresse à l’approche clinique des conditions qui forcent à la baisse performance au travail. Il est l’auteur d’une Dissertation de Doctorat non publiée en Éducation et en Leadership du Développement. Il prépare aussi un livre sur le Leadership en Haïti.
5- Justima a étudié à Washington le leadership et l’introduction du changement. C’est au cœur de Washington, D.C., capitale fédérale des Etats-Unis à la célèbre Université George Washington que Justima a complété ses études de Doctorat en Education et en Leadership du Développement Humain. C’est là qu’il y a solidement assis et ancré académiquement son savoir-faire d’une approche neuro-cognitive et psycho-technicienne de l’introduction du changement dans des contextes de psychose et de dépression anaclitique comme Haïti où l’on panique, l'on se cabre, l'on se bat le couteau aux dents lorsqu’il s’agit de changer. L’approche est celle d’un plan attractif de transformation qui doit être "empirico-rationnel" d’abord sur lequel presque tout le monde peut tomber d'accord, "normatif-rééducatif" ensuite pour désapprendre et apprendre comment modeler le nouveau, et "puissammement contraignant" enfin avec un équilibre de sanctions et de récompenses pour faire comprendre que c'est du sérieux et porter tout le monde à marquer le pas pour que la transformation prenne corps et se maintienne. Donc de tempérament et de formation, il a l’étoffe qu’il faut pour architecturer le changement du nouveau pays en obtenant ‘maximum coopération-minimum tension’. Il a aussi complété une Maîtrise en Gestion Industrielle d’où son approche rationnelle, technique, productiviste, pragmatique mais pro-croissance en qualité et en quantité industrielles.
Justima est très Haïtien. Il n'as pas perdu ses bonnes habitudes et traditions de la malice populaire et n'a pas abandonné ses racines, comme du reste la plupart des éléments brillants de sa génération du genre de la vedette internationale Wycleff Jean qui se sentent à l'aise avec "le peuple" et n'essayent pas de s'en séparer pour démontrer une différence entre eux et la masse mais qui au contraire retournent dans le quartier populaire pour, de leur échelle, aider d'autres à grimper. Justima est plus un simple citoyen mu par un patriotisme pratiquant, plus un politique qui agit en Homme d'Etat et non un politicien professionnel et de carrière. Il a crée un business et s'est occuppé de faire un payroll,ce qui est peu répandu parmi les politiciens professionnels. Il est un homme d’affaires dans l’âme et PDG de la Justima Holdings et Justima qu’il a du fermer à cause de la situation du pays. Il a démarré une autre compagnie, la JUSTIMA'GILL, qui contrôle la JPLI des USA et celle d'Europe lesquelles oeuvrent notamment dans le domaine des exportations et mouvements de négoces massifs des principales denrées alimentaires du monde.
Son plus grand rêve, ce n’est pas le pouvoir. Le pouvoir pour lui est mission, est fiat: prendre le pouvoir pour le distribuer à 21 équipes différentes dans 21 domaines et pour le distribuer de la capitale à 49 communautés ou périphéries de communes groupées en grappe pour une déconcentration du pouvoir et du savoir et de l’avoir sur Haïti toute entière, en guise de méthode et organisation pour que le pays puisse commencer à devenir, sur 25 ans, la puissance matérielle et mentale qu'elle promettait d'être au lendemain du 1er Janvier 1804. Mais son grand rêve personnel est de réussir la Ferme Justima Verts Pâturages, l’élevage en grand plan en qualité et en quantité industrielle et l’usine de transformation de viande et de produits laitiers pour offrir toute une gamme de produits de ferme comme les Produits Goya par exemple, sur les rayons de tous les supermarchés.
6- Justima est extrêmement qualifié aux yeux de ses compatriotes. Dès 1995, il a commencé a supporter nombres d’écoles et de cantines. Il a payé l’écolage de ses propres fonds pour des centaines d’élèves et d’étudiants, il a fait les frais de nombres de funérailles et de mariages. Il semble qu'il n'a jamais eu assez, tant il est sollicité de toutes parts pour aider. Pourtant, ce n’est pas ce qui le qualifie, sinon cela qualifierait tout le monde qui en fait autant ou plus. Il a payé leurs loyers et a payé les consultations médicales pour des centaines de compatriotes. Pourtant ce n’est pas ce qui le qualifie, aux yeux de l'Haïtien moyen. C’est l’esprit de (re-)construction et de renouveau qui l’anime qui le qualifie, cette forte poussée d’ordre intérieur ou Dieu de son cœur pour avoir un pays à nouveau en harmonie avec le divin, avec l'ésotérique, et avec le cosmique et qui se restore de damné à un pays béni. C'est cet esprit d'un pays qui opère sa remontée qui le possède et qui l'a saisi d'une vision attrayante d'une autre "Haitïanna", une "Haïti.2" possible sur 25 à 30 ans. C'est ce qui le sépare des autres. Il a une vision bien définie et lorqu'il en parle, l'on sent les multiples travaux et études entrepris depuis 10 ans pour formuler et clarifier la vision en 21 plans intégrés de développement dans 21 domaines dans 49 zones du pays. Il ne marmotte pas et ne dit pas, une fois arrivé, il verra (gouverner c’est prévoir), voilà ce qui le qualifie aux yeux de ses compatriotes. Quelqu’un, à leurs yeux, qui a finalement présenté le nouveau alternatif, en des termes innovants et productifs, quantifiables et mesurables, et qui semble se présenter, préparé et prêt pour le job le plus important de la nation, muni d'un master plan que tout le monde peut suivre au lieu d'être livré aux caprices du Président.
Et ce qui fait plus encore la différence, c'est que Justima s'est préoccuppé de trouver la formule qui manquait pour que tout Haïtien de bonne foi, tous les bras et tous les cerveaux qui veulent se mettre au service de la république puissent le faire sans avoir à demander " tanpri souple" et sans distinction d'âge, de sexe, d'affiliation politique ou de classe sociale. Et surtout il a trouvé la formule pour grouper la grande masse derrière chaque de ces 21 domaines afin qu'elle ne soit plus coupée des projets alléchants de construction du pays qui est le sien aussi et n'ait plus à se résigner d'une part du gâteau national,qui se rétrécit alors que les bouches parmi elle augmentent.
Justima dit souvent que sa doctrine "c'est la doctrine qui soutient que, contrairement à un grand nombre de pays, Haïti c'est un pays qui appartient à nous tous, non pas en théorie mais dans la pratique. Parce que nous avons presque tous été faits, en même temps, co-héritiers et donc co-propriétaires du sol national par ce qu'a fait le grand-père ou la grand-mère de presque chacun de nous en 1803 qui a rendu le 1er Janvier 1804 possible. Donc presque chacun, non pas simplement une élite, a un droit qui lui est dévolu d'en être le co-constructeur et le co-déterminateur de ce que l'on fait avec le pays et d'en jouir également en tant que bénéficaire des dividendes de ce que le pays rapporte, à part entière.
C'est la doctrine du co-héritier et co-propriétaire du sol national, du co-constructeur et co-déterminateur de son destin, de l'état d'Haïti qui au fait n'est "qu'une deuxmotié-cratie", ayant reçu des co- propriétaires du pays un contrat de "deux moitié: pour faire fructifier le pays et organiser le partage et séparation des dividendes régulièrement, lequel contrat que l'état d'Haïti depuis qu'il éxiste n'a jamais honoré vis à vis de la grande masse propriétaire, co-actionnaires aussi de leur pays ".
Donc la politique de Justima de réparation socio-économique historique de cette faillite de l'état dans la création, l'accumulation et la distribution de la richesse nationale est :
a) donne de la valeur à toutes les valeurs du pays,il n'y a pas un Haïtien à gaspiller; nous sommes déjà peu suffisants pour tackler ses énormes tâches qui vont demander d'ètre tacklées toutes simultanément en conjonction pour obtenir tout résultat significatif qui nous donne l'impression que nous avançons réellement;
b) par nécéssité, fais appel aussi à tous les Haïtiens qui vivent à l'étranger et à toute femme et tout homme de descendance haïtienne qui vivent de par le monde pour venir avec la grande armée des "retournés" (ceux qui retournent chez eux) nous renforcer dans les tranchées dans la ligne de front et donc conséquemment puisque ceux qui viennent de l'étranger iront à la peine avec nous, assurre leur sans démagogie et sans tricherie du statut de co-partenaire et d'Haïtien intégral pour qu'ils puissent jouir presqu'autant que nous à 100% de ce qu'ils nous auraient aidé à semer;
c) par nécessité, fais appel enfin à tous les gens habiles, expérimentés du monde entier qui veulent en tant qu'expatriés venir faire avec nous l'expérience haïtienne de résurrection d'une terre et d'un peuple, et surtout fais en sorte de cibler en particulier tout noir ou mulâtre caraïbéen, nord-américain, Africain ou du reste du monde qui est d'une habileté, d'une influence, ou d'une affluence économique certaine, fais en sorte que tous ces expatriés prennent Haïti pour le pays d'exploitation d'opportunités nouvelles et de création de fortunes nouvelles, le Dubaï et le Shanghaï des Amériques, et fais d'eux aussi des Haïtiens par adoption pour qu'ils puissent jouir pleinement et sans s'inquiéter du pays en proportion de ce qu'ils auront eux-mêmes contribué."
Tel est l'agenga de "greffe stratégique" de Justima pour greffer sur le peu dont Haiti dispose, ces millions de personnes entraînées et ces billions de dollars dont ces nouveaux venus ont accès pour soulever les millions qui végètent en Haïti.
Justima a saisi. Justima a compris. C'est ce qui le qualifie. C'est pour cela qu'il est un "Président en attente" et que tant de gens en Haïti, surtout et sans surprise parmi ceux qui voteraient encore Aristide, et tant de gens de par le monde (qui ont découvert lors de la dernière campagne présidentille, l'attrait de sa nouveauté et de son electabilité parmi les masses urbaines, parmi les jeunes et parmi les femmes des villes,et parmi les paysans des plateaux et des plaines,)ont commencé à monter des comités de supporters de Justima pour le pousser jusqu'à la prise du pouvoir.
7- Justima, qui est très habile à faire campagne et qui n’a jamais perdu une élection, à laquelle il s'est complètement déployé avec derrière lui toutes les ressources et l'organisation qu'il faut, est perçu en tant que sang neuf et le visage de l'Haïti de demain. Il a quelque chose en lui de vision fraîche et de pureté d’âme et un autre genre de charisme qui fait tomber vos défenses et vous met en confiance, vous fait vouloir son leadership et faire confiance à son jugement et fonctionner avec lui. Vous le voyez comme l’homme des grandes synthèses qui simplifie le complexe, et l’homme qui ne trahit jamais. C’est pourquoi, il s’est toujours retrouvé dans des situations où le leadership lui a été confié volontiers, comme dans la question de monter le bloc politique "Bloc Alternatif" avec les leaders candidats à la présidence de 11 partis politiques, quand le besoin était d’être imaginatif, de forcer le destin à chaque parcours et de tout rassembler en une œuvre et produit fini dont tout le monde s’y reconnaîtrait. Il est un homme très spirituel qui prie beaucoup, un homme de famille qui deviendra dans un avenir très proche,selon bien des aveux,le Président le plus attrayant et le mieux façonné de l’après-Duvalier. Du primaire au secondaire, classe après classe, il a toujours été ou bien désigné ou bien élu président de classe, ce qui dit tout puisque rien ne vient de rien.
Justima est l'un des 3 principaux initiateurs et l'un des leaders-fondateurs du caucus ou bloc de 11 partis et formations politique dénommé " Bloc Alternatif", l'un des 4 grands blocs politiques du pays de 2006 à côté du Bloc Lavalas et de ses dérivés, de la Convention des Partis Politiquest et du Conseil National des Partis Politiques.
Justima met en place une fondation, Fondation Justima Démocratie et Développement Pilote, pour: 1) Permettre à la population de respirer sous le poids des prix de produits de premières nécessités. 2) Pour prendre 3 problèmes du pays et commencer sur le terrain et concrètement la matérialisation pilote du développement qui transforme physiquement chaque de ces 3 domaines et les altère drastiquement ainsi que la vie des masses qui en dépendent. 3) Pour intégrer le peloton de tête de ceux qui usent un nouveau style de leadership de possibilités du 21ième siècle pour promouvoir les politiques publiques en faveur de la justice sociale et de la justice économique, en faveur de l'économie qui rime avec écologie, et en faveur du développement réel et durable des communautés et des gens pauvres; de telles politiques publiques innovantes découlant d'une approche néo-développementiste intégrale qui prend un problème sous tous ses aspects pour le résoudre et le résoudre définitivement.
Justima, appelé par ses intimes ou bien “PDG ou ‘‘Prezidan Tima”, est un homme qui adore faire rire, adore chanter et danser, fin cuisinier et bon décorateur de sa maison, et le père de deux enfants.
Par Les Amis qui Poussent Justima
1- Justima est celui qui a co-créé le Centre Technique St Gérard. Il l’a co-créé avec le Père curé Catholique de St Gérard Joseph Classens et avec son père Justin de la Ste Famille d’Haïti, qui vient du bas Plateau Central. Justima Il est celui qui a le premier équipé et le premier co-dirigé : Le Centre Technique ST Gérard de Carrefour Feuilles. Depuis son jeune âge, Justima est connu dans la zone pour une sorte de capitaine d’équipe, en tout et pour tout,qui élève la barre et fait jouer tout co-équipier à un niveau de performance plus élevé. Il a pris des jeunes gens de Carrefour Feuilles, au coeur de l'un des quartiers populaires les plus importants de la capitale, et a commencé avec eux une expérience qui a réussie. Il leur a donné une opportunité de devenir de chômeurs, producteurs. L’un d’eux est toujours le directeur très réussi du centre en question, qui est devenu l'une des plus grandes écoles professionnelles du pays. C’est à partir de ce moment qu’il a commencé à être un praticien et à créer plutôt qu'à théoriser, surtout dans les quartiers populaires.
2- Justima est un ancien journaliste-présentateur vedette de nouvelles à la radio et à la télé. Il est un ancien homme de théâtre, dramaturge, présentateur, metteur en scène et réalisateur de spectacles. Il a essayé le cinéma. Il a coordonné la première équipe de Radio Antilles Internationale en 1984-1985, qui comprenait entre autres à l'époque le Major Carrel Occil qui est devenu après Lieutenant Colonel des FADH (Forces Armées d'Haïti) et Commandant Militaire du Département du Nord. Cette équipe a essayé, sous l’impulsion du Directeur Jacques Sampeur, un format nouveau d’édition de nouvelles de facture internationale jusque là non égalée en Haïti.
Cela fait plus de 20 ans qu’il n’est plus à Télé Haïti, mais le souvenir de sa présence d’écran, qu’il était télégénique, de sa verve et timbre de voix, le présentateur très remarqué de Télé Presse (les nouvelles télévisées du soir) qu’il a été, et l’intervieweur des grandes ligues qu’il s’est révélé, sont des images qui restent encore gravées dans la mémoire de beaucoup de téléspectateurs Haïtiens. C’est à partir de cette plateforme télévisuelle que le secteur bourgeois a fait connaissance avec lui et lui avec eux.
Rédacteur en chef et agissant comme Directeur de la Salle des Nouvelles de la Radio Nationale pendant 3 mois, en 1987, il a doté la radio d’état de son premier code de rédaction. Ce qui était très important et était une première en Haïti. Puisque la tendance de presque toutes les salles de nouvelles jusqu’à présent en Haïti, c’est de fonctionner sans un code de la rédaction, sans ce code linguistique (grammaire, lexique) créole ou français particulier à cette rédaction qui dit quels genres de tactiques dans la cueillette, le tri et l’analyse de l’information et quels genres de mots les journalistes peuvent employer pour l’honneur, le sens de la morale et du bon goût et de l’éthique, et de la probité intellectuelle en tant que marques de professionnalisme de cette rédaction. Ce genre de code qu’a préconisé Justima et qui manque encore dans nos médias, c’est pour assurer des bornes sûres et justes aux pulsions premières de tout journaliste. Ancien membre du comité directeur de la première AJH (Association des Journalistes Haïtiens) en 1986-87 après le départ de Duvalier, il a été aussi élu la même année à Caracas au Vénézuéla par ses confrères journalistes latino-américains Secrétaire Exécutif de la FELATRAP (Federacion Latino Americana de Trabajadores de Prensa).
Justima a pris des risques seul avec son équipe de télévision (la seule à l’époque— Télé Haïti) dans les rues désertes et dangereuses de l’après 7 Février 1986 quand il n’y avait pas de modèle comment survivre et réaliser des reportages aussi dangereux. Il lui a été décerné le Prix du Meilleur Speaker de nouvelles par la Société Nationale des Journalistes Professionnels d’Alix Damour et celui du Meilleur et Plus Prestigieux Animateur d’Emissions Politiques. Il a présenté des conférences sur Haïti, notamment à Aruba en 1987, au Singapour, à Hong Kong en 1995, etc. C’est à partir de sa démonstration dans les médias de sa capacité de pouvoir débattre des grandes questions avec les meilleurs hommes politiques Haïtiens que la classe moyenne a commencé à le considérer, dès 1986, comme l’un des plus beaux fleurons de l’intellectualité haïtienne.
3- Justima, né d’une famille de malheureux qui se débrouillaient, a percé économiquement tout en mettant sa percée au service des autres. Il est né le 21 Février 1966 à la Maternité Isaïe Jeanty de Chancerelles qui fait partie aujourd'hui de la fameuse commune de Cité Soleil. Ses proches le taquinent avec un lointain parallèle qu’ils semblent voir entre lui et le héros national François Cappoix dit Cappoix La Mort né en 1766 et qui en 1806 avait 40 ans comme lui-même, Justima, né 200 ans après et qui a eu 40 ans en Février 2006. Ses proches qui le taquinent le font par appréciation pour sa bravoure voilée et mâle courage pour oser affronter des défis et des problèmes qui sont là depuis 200 ans et que tout le monde fuit à cause de leur énormité et de la possibilité réelle d’échouer. Justima répond tout simplement "M-renmen peyi m. M-tonbe pou peyi m".
On dit que Justima est un homme d’une hauteur mystique et spirituelle insaisissables, mais très humble pour quelqu’un de ce quotient intellectuel très élévé, qui a été mesuré à supérieur à 149 par son psychologue lors d'une évaluation de son cerveau en 1999 suite à un accident de voiture au début de l'année.
Il a été à l’école à presque 7 ans, un peu tard comparé aux enfants de son âge. Il a été droit à la maternelle et comme il excellait, on a du lui faire "sauter" des classes en primaire. Il dit souvent « c’est sur les genoux de ma mère que j’ai appris à lire et à écrire ». Il appelle sa mère Marie Céline de La Vallée de Jacmel, ‘Madame Ma Mère’ et elle vous dirait "que jamais Emmanuel n'a osé jusque là lever sa voix sur moi". Leur amour, mère et fils, ou dépendance l'un de l'autre est si fort que cela dès fois rend jaloux ses 8 autres frères et soeurs. Justima avait 14ans,il lisait déjà devant une foule forte de plusieurs dizaines de milliers, faisant généralement la lecture pour la Ste Famille d’Haïti, l’organisation catholique laïque qui il ya 20 ans était encore plus puissante que le mouvement charismatique du jour. C'est cette organisation qui lui a insuflé le souffle de l'engagement chrétien humain et de l'engagement chrétien social et de la responsabilité,en matière de foi agissante et non de foi morte, de parachever l'oeuvre de la création dans tous les domaines qu'il opère. C'est ce qui a servi à le conduire à la vie publique et qui lui a rendu, dans la pratique, confortable devant les grandes foules. "Les méchants triomphent quand les bons se mettent à côté. L'immoralité triomphe quand les gens de moralité se mettent à côté. L'incompétence triomphe quand les gens compétents se mettent à côté" repète t-il souvent.
Il est un produit de l’école nationale et a fait ses études primaires à l’école Jean XXIII du Bicentenaire de Port-au-Prince chez les frères du Sacré Cœur. Ces frères sont également responsables de ses études secondaires faites au Collège Canado-Haïtien où jusqu’à présent il continue de jouir d’une popularité à nul autre pareil parmi les anciens alumni du Canado et surtout même parmi ceux là qui n’étaient même pas de sa promotion. L’école dite nationale en Haïti est une école souvent dirigée par des religieux pour le compte de l’état haïtien, qui prend en main des enfants dont au moins les 2/3 sont issus de familles de petites bourses. Même quand, souvent, des gens aisés placent aussi leurs enfants dans ces genres d’école à cause de la réputation que jouit toute école dirigée par des religieux.
Reconnaissant de l’éducation primaire presque gratuite qu’il a reçu de l’école nationale, Justima a essayé d'introduire en 2001 et dans plusieurs villes du pays un programme qui épaulerait et ré-inventerait l’école primaire fondamentale pour les besoins de l'Haïti d’aujourd’hui et de demain. Ce programme national d'appui au système éducatif qu'il baptisait « Les Enfants de La Relève », était un mouvement de simples citoyens patriotes pour la Relève dans l’éducation et dans les salles de classe. Ce mouvement de simples citoyens a tenté d’atteindre, à partir de l’année académique 2000-2001 et notamment à Port-de-Paix et dans le Nord-Ouest parmi les endroits les plus dépourvus et les plus abandonnés d'Haïti, les 5 objectifs que voici:
1) Moderniser en changeant la nature et en élevant le niveau de cette éducation sous-optimale, bas standard et à rabais que l'on enseigne aujourd'hui dans nos écoles par une concentration, désormais, sur les 5 matières de base clefs a) concentration sur les sciences, b) concentration sur les mathématiques, c) concentration sur les langues, d) concentration sur l’histoire y compris l'étude des cas de figures dans les domaines de l'histoire économique, sociale, commerciale et industrielle de chaque commune, de chaque département d'Haïti ainsi que l'histoire comparée avec des pays ciblés pour leur similitude ou différence avec notre dégré d'évolution et e) enfin concentration sur l’éducation sociale pour suppléer aux parents absents et à l’effondrement des valeurs sociales. Cette éducation sociale enseignerait le sens de l’effort, le respect du droit des autres, et du bien des autres, la convivialité et tolérance, le sens de la discipline et du devoir,le comportement rationnel et éclairé ou maîtrise de soi,l’instinct collectif ou associatif, le sens de l’équipe, la relève ou le service civique et enfin le sens de communauté et de la patrie commune afin de lever une nouvelle classe de citoyens.
2) Opérer une mise à niveau générale des professeurs par un mouvement sans précédent de ré-entrainement massif de tous ceux qui enseignent quelque chose en Haïti à quelque soit le niveau et, et élever parallèlement la performance académique de tous ceux qui apprennent quelque chose au pays jusqu’à ce que l’élève ou l'étudiant le moins performant ait au moins 70% sur 100 pour moyenne, dans chacune de ces concentrations. Ce serait la barre de l'excellence du pays tout entier qui s'éléverait si l'on n'acceptait plus 50 sur 100 comme moyenne de passage et qu'il faille se décupler maintenant, non pas pour qu'une petite élite ait 70 sur 100 mais la masse de ceux qui vont à une école quelconque. C'est Haïti qui a 200 ans à rattraper et c'est elle qui devrait consentir le plus d'efforts pour se préparer et avancer à marche forcée pour ratrapper les pays qui l'ont déclassée et qui n'acceptent pas moins de 70 sur 100 comme moyenne de passage dans une matière pour un étudiant ou èlève moyen.Justima repète ouvent" Vous continuerez à avoir un pays sous-optimal, de bas étage, et en deça de la normale et de tout standard pour autant que vous maintenez un système d'éducation sous-optimale,de bas-étage et en deça de la normale et du plus haut standard."
3) Introduire dans chaque de ces salles de classe des matériels modernes de cours pour professeurs et des matériels d’aide à l’apprentissage comme des pictogrammes, des documentaires audio-vidéo de support aux leçons du jour, des cd roms et exercices appropriés à l’ordinateur, des laboratoires de démonstration, etc. Le tout dans une salle de classe rénovée et préférablement climatisée puisque celui ou celle qui étudie tendra à répliquer plus tard sa misère si on le garde et l'éduque dans un milieu misérable. Donc, introduire la grande masse qui étudie à ce qui est acceptable, à la modernité et à la culture digitale.
4) Relever les salaires de tous les professeurs affectés à ce travail à partir d’un supplément qui leur serait fourni régulièrement.
5) Accorder religieusement une subvention aux parents pour aider avec les frais d’écolage de tous leurs enfants qui font partie du programme et accorder une subvention à la direction de chaque école pour les frais de courant, de téléphone, d’internet, et d’un buffet journalier de repas chaud et nutritif pour élèves et étudiants, etc.
Ce programme ambitionnait d’attaquer un problème fondamental par la base, faire des pépinières valables et viables des élèves et étudiants d’aujourd’hui en la relève et en la main d’œuvre qualifiée, spécialisée et multilingue de demain.
4- Justima, un leader visionnaire naturel cité dans plusieurs articles de journaux et ouvrages publiés en Haïti et à l’étranger, est peut-être parmi les plus grands communicateurs (presque du même niveau qu'Aristide) et spécialistes de marketing social de son pays. Il est l'un des rares lorsqu'il communique: il passe; authentique pour la classe populaire, sans insulter l'intelligence de la classe moyenne, et parlant de tout dans un langage connecté à l'exploitation de multiples possibilités nouvelles qui envoute la classe des possédants. Il est parmi ceux à qui l'on se tourne dans les contextes difficiles pour parler à la population: tel rassurer avec le CEP de 1987 et lancer l’Université Notre Dame en 1995 après un embargo.
Mr Viter Juste, le commentateur de l’hebdomadaire Haïtien ’Haïti en Marche’ qui est reconnu pour sa perspicacité, écrit à propos de Justima dans l'édition du 17 Octobre 2001 de ce journal:
« …l’avenir du pays devrait être confié à cette multitude de jeunes nés en Haïti ou descendants des expatriés des années 60 à nos jours…un très grand nombre de ces jeunes qui ont maîtrisé des disciplines techniques, scientifiques et intellectuelles diverses ne rêvent qu’à retourner au pays pour mettre leursPour l’auteur de l’article, Justima est celui à qui le pays devrait confier la tâche de rassembler toutes ces jeunes valeurs:
connaissances scientifiques, techniques, éducationnelles mais surtout leur patriotisme au service de la terre de leurs ancêtres… »
« C’est d’ailleurs notre opinion que la gent politique actuellement en Haïti a quelques rares exceptions est incapable de résoudre les problèmes du pays parce qu’elle a accumulé trop de haines, elle n’est prête à aucune concession pour sauver la nation qui se meurt. Les quelques dinosaures qui forment la soi disant Opposition est incapable de produire un plan de ouvernement alternatif. Tout leur plan de gouvernement se résout à une montagne d’intrigues en association avec les ennemis traditionnels du peuple… Alors comment blâmer ceux-là qui pensent tout bas que tout ce monde soit déposé dans une boîte à recycler pendant que Mr. Emmanuel Justima clame bien haut qu’il y a une équipe de jeunes formée à l’étranger dans toutes les disciplines et qu’elle est prête à assurer la relève.
Est-ce un crime contre la nation que de demander qu’un remue ménage ordonné soit opéré tant dans les rangs du Gouvernement que de l’Opposition ? Il y a un tas de gens qui pensent comme Mr. Justima. Mr. Emmanuel Justima si vous êtes capable de joindre le geste et la parole, mettez vous à l’œuvre avant que la barque de l’Etat ne sombre dans le chaos emportant dans ses flancs Gouvernement, Opposition et Nation."
Mr Viter Juste de l’Haïti en Marche du 17 Octobre 2001 confirme que pour ceux qui suivaient, Justima y travaillait déjà depuis longtemps avant même d'être candidat à la Présidence juqu'en 2005 et que pour ceux qui l’ont manqué, c’est parce que tout simplement on faisait plus de bruit autour des luttes pour le pouvoir.
Justima qui s'est vu à la tête des simples citoyens du pays qui cherchaient, par un groupe multisectoriel national sur 2004, à recadrer et à recentrer 2004 pour en faire une commémoration moins gouvernementale, et plus nationale et plus significative que seulement organiser des fêtes, et qui concernerait plus le citoyen, est aussi celui qui avait lancé Haïti Corps de la Relève en Mai 2000. C’est ce corps de simples citoyens, qui est plus qu’une version de Peace Corps à l’haïtienne,qui avait motivé aux Etats Unis plus de 25,000 personnes d’origine haïtienne à contribuer directement aux divers fonds pour supporter le peuple américain dans un moment difficile. Ce corps se voulait un corps de citoyens originaires de chaque zone et organisés pour systématiser La Relève pour chaque zone en Haïti et stopper l’hémorragie des cerveaux et des bras que chaque continue de subir. C’est cette capacité collective et coopérative de simples citoyens de 49 zones du pays qui s'est muée durant les élections Présidentielles 2005-2006 en fer de lance du Mouvement des Simples Citoyens pour constituer, momentanément, l'ossature du regroupement Action Démocratique qui porta Justima à la candidature de la Présidence de la République, plus par dépit pour ce que finalement le 1er Janvier 2004 a été, et par impatience, et par devoir.
Au niveau de l’état haïtien, en plus de la radio nationale, il a été Consultant de la Direction Générale à l’OFATMA (Office d’Assurance du Travail, Maladie et Maternité). Au premier CEP fonctionnel de 1987, il était plus qu’un simple Directeur Adjoint des Relations Publiques, il était le premier Porte-parole de l’organisme électoral qui équilibrait journellement le rôle du CEP avec ses devoirs envers le gouvernement d’alors. On l’a retrouvé proche d’Emmanuel Ambroise, membre du conseil du CEP, qui avait fait de lui son protégé et qui comptait sur son doigté politique en qualité de son Conseiller Politique parce que Justima était en de bons termes avec tous les acteurs politiques d’alors et comptait aussi sur son sens des campagnes de persuasion de masse au pays.
Dans le monde des affaires, Justima s’est révélé un virtuose du marketing des produits financiers aux Etats-Unis. Il y créa en 1994 sa propre firme, la JHJ qui est connue en Haïti depuis 1995 plus spécialement pour avoir réussi le lancement du projet de l’UNDH (Université Notre Dame d’Haïti) pour la Conférence Episcopale d’Haïti quand la population qui sortait tout juste d’une période d’embargo devrait être persuadé de la crédibilité qui entourait ce projet.
Justima a aussi acquis de l’expérience dans le domaine industriel, ayant piloté des projets complexes de réorganisation et de changement planifié, ayant développé le phénomène participatif des employé dans les entreprises, ayant augmenté les capacités des employés à faire plus et mieux et à moindre cout, et ayant systématisé des modèles de travail pour faire accroître la productivité et le rendement des équipes. Ces derniers temps, il s’intéresse à l’approche clinique des conditions qui forcent à la baisse performance au travail. Il est l’auteur d’une Dissertation de Doctorat non publiée en Éducation et en Leadership du Développement. Il prépare aussi un livre sur le Leadership en Haïti.
5- Justima a étudié à Washington le leadership et l’introduction du changement. C’est au cœur de Washington, D.C., capitale fédérale des Etats-Unis à la célèbre Université George Washington que Justima a complété ses études de Doctorat en Education et en Leadership du Développement Humain. C’est là qu’il y a solidement assis et ancré académiquement son savoir-faire d’une approche neuro-cognitive et psycho-technicienne de l’introduction du changement dans des contextes de psychose et de dépression anaclitique comme Haïti où l’on panique, l'on se cabre, l'on se bat le couteau aux dents lorsqu’il s’agit de changer. L’approche est celle d’un plan attractif de transformation qui doit être "empirico-rationnel" d’abord sur lequel presque tout le monde peut tomber d'accord, "normatif-rééducatif" ensuite pour désapprendre et apprendre comment modeler le nouveau, et "puissammement contraignant" enfin avec un équilibre de sanctions et de récompenses pour faire comprendre que c'est du sérieux et porter tout le monde à marquer le pas pour que la transformation prenne corps et se maintienne. Donc de tempérament et de formation, il a l’étoffe qu’il faut pour architecturer le changement du nouveau pays en obtenant ‘maximum coopération-minimum tension’. Il a aussi complété une Maîtrise en Gestion Industrielle d’où son approche rationnelle, technique, productiviste, pragmatique mais pro-croissance en qualité et en quantité industrielles.
Justima est très Haïtien. Il n'as pas perdu ses bonnes habitudes et traditions de la malice populaire et n'a pas abandonné ses racines, comme du reste la plupart des éléments brillants de sa génération du genre de la vedette internationale Wycleff Jean qui se sentent à l'aise avec "le peuple" et n'essayent pas de s'en séparer pour démontrer une différence entre eux et la masse mais qui au contraire retournent dans le quartier populaire pour, de leur échelle, aider d'autres à grimper. Justima est plus un simple citoyen mu par un patriotisme pratiquant, plus un politique qui agit en Homme d'Etat et non un politicien professionnel et de carrière. Il a crée un business et s'est occuppé de faire un payroll,ce qui est peu répandu parmi les politiciens professionnels. Il est un homme d’affaires dans l’âme et PDG de la Justima Holdings et Justima qu’il a du fermer à cause de la situation du pays. Il a démarré une autre compagnie, la JUSTIMA'GILL, qui contrôle la JPLI des USA et celle d'Europe lesquelles oeuvrent notamment dans le domaine des exportations et mouvements de négoces massifs des principales denrées alimentaires du monde.
Son plus grand rêve, ce n’est pas le pouvoir. Le pouvoir pour lui est mission, est fiat: prendre le pouvoir pour le distribuer à 21 équipes différentes dans 21 domaines et pour le distribuer de la capitale à 49 communautés ou périphéries de communes groupées en grappe pour une déconcentration du pouvoir et du savoir et de l’avoir sur Haïti toute entière, en guise de méthode et organisation pour que le pays puisse commencer à devenir, sur 25 ans, la puissance matérielle et mentale qu'elle promettait d'être au lendemain du 1er Janvier 1804. Mais son grand rêve personnel est de réussir la Ferme Justima Verts Pâturages, l’élevage en grand plan en qualité et en quantité industrielle et l’usine de transformation de viande et de produits laitiers pour offrir toute une gamme de produits de ferme comme les Produits Goya par exemple, sur les rayons de tous les supermarchés.
6- Justima est extrêmement qualifié aux yeux de ses compatriotes. Dès 1995, il a commencé a supporter nombres d’écoles et de cantines. Il a payé l’écolage de ses propres fonds pour des centaines d’élèves et d’étudiants, il a fait les frais de nombres de funérailles et de mariages. Il semble qu'il n'a jamais eu assez, tant il est sollicité de toutes parts pour aider. Pourtant, ce n’est pas ce qui le qualifie, sinon cela qualifierait tout le monde qui en fait autant ou plus. Il a payé leurs loyers et a payé les consultations médicales pour des centaines de compatriotes. Pourtant ce n’est pas ce qui le qualifie, aux yeux de l'Haïtien moyen. C’est l’esprit de (re-)construction et de renouveau qui l’anime qui le qualifie, cette forte poussée d’ordre intérieur ou Dieu de son cœur pour avoir un pays à nouveau en harmonie avec le divin, avec l'ésotérique, et avec le cosmique et qui se restore de damné à un pays béni. C'est cet esprit d'un pays qui opère sa remontée qui le possède et qui l'a saisi d'une vision attrayante d'une autre "Haitïanna", une "Haïti.2" possible sur 25 à 30 ans. C'est ce qui le sépare des autres. Il a une vision bien définie et lorqu'il en parle, l'on sent les multiples travaux et études entrepris depuis 10 ans pour formuler et clarifier la vision en 21 plans intégrés de développement dans 21 domaines dans 49 zones du pays. Il ne marmotte pas et ne dit pas, une fois arrivé, il verra (gouverner c’est prévoir), voilà ce qui le qualifie aux yeux de ses compatriotes. Quelqu’un, à leurs yeux, qui a finalement présenté le nouveau alternatif, en des termes innovants et productifs, quantifiables et mesurables, et qui semble se présenter, préparé et prêt pour le job le plus important de la nation, muni d'un master plan que tout le monde peut suivre au lieu d'être livré aux caprices du Président.
Et ce qui fait plus encore la différence, c'est que Justima s'est préoccuppé de trouver la formule qui manquait pour que tout Haïtien de bonne foi, tous les bras et tous les cerveaux qui veulent se mettre au service de la république puissent le faire sans avoir à demander " tanpri souple" et sans distinction d'âge, de sexe, d'affiliation politique ou de classe sociale. Et surtout il a trouvé la formule pour grouper la grande masse derrière chaque de ces 21 domaines afin qu'elle ne soit plus coupée des projets alléchants de construction du pays qui est le sien aussi et n'ait plus à se résigner d'une part du gâteau national,qui se rétrécit alors que les bouches parmi elle augmentent.
Justima dit souvent que sa doctrine "c'est la doctrine qui soutient que, contrairement à un grand nombre de pays, Haïti c'est un pays qui appartient à nous tous, non pas en théorie mais dans la pratique. Parce que nous avons presque tous été faits, en même temps, co-héritiers et donc co-propriétaires du sol national par ce qu'a fait le grand-père ou la grand-mère de presque chacun de nous en 1803 qui a rendu le 1er Janvier 1804 possible. Donc presque chacun, non pas simplement une élite, a un droit qui lui est dévolu d'en être le co-constructeur et le co-déterminateur de ce que l'on fait avec le pays et d'en jouir également en tant que bénéficaire des dividendes de ce que le pays rapporte, à part entière.
C'est la doctrine du co-héritier et co-propriétaire du sol national, du co-constructeur et co-déterminateur de son destin, de l'état d'Haïti qui au fait n'est "qu'une deuxmotié-cratie", ayant reçu des co- propriétaires du pays un contrat de "deux moitié: pour faire fructifier le pays et organiser le partage et séparation des dividendes régulièrement, lequel contrat que l'état d'Haïti depuis qu'il éxiste n'a jamais honoré vis à vis de la grande masse propriétaire, co-actionnaires aussi de leur pays ".
Donc la politique de Justima de réparation socio-économique historique de cette faillite de l'état dans la création, l'accumulation et la distribution de la richesse nationale est :
a) donne de la valeur à toutes les valeurs du pays,il n'y a pas un Haïtien à gaspiller; nous sommes déjà peu suffisants pour tackler ses énormes tâches qui vont demander d'ètre tacklées toutes simultanément en conjonction pour obtenir tout résultat significatif qui nous donne l'impression que nous avançons réellement;
b) par nécéssité, fais appel aussi à tous les Haïtiens qui vivent à l'étranger et à toute femme et tout homme de descendance haïtienne qui vivent de par le monde pour venir avec la grande armée des "retournés" (ceux qui retournent chez eux) nous renforcer dans les tranchées dans la ligne de front et donc conséquemment puisque ceux qui viennent de l'étranger iront à la peine avec nous, assurre leur sans démagogie et sans tricherie du statut de co-partenaire et d'Haïtien intégral pour qu'ils puissent jouir presqu'autant que nous à 100% de ce qu'ils nous auraient aidé à semer;
c) par nécessité, fais appel enfin à tous les gens habiles, expérimentés du monde entier qui veulent en tant qu'expatriés venir faire avec nous l'expérience haïtienne de résurrection d'une terre et d'un peuple, et surtout fais en sorte de cibler en particulier tout noir ou mulâtre caraïbéen, nord-américain, Africain ou du reste du monde qui est d'une habileté, d'une influence, ou d'une affluence économique certaine, fais en sorte que tous ces expatriés prennent Haïti pour le pays d'exploitation d'opportunités nouvelles et de création de fortunes nouvelles, le Dubaï et le Shanghaï des Amériques, et fais d'eux aussi des Haïtiens par adoption pour qu'ils puissent jouir pleinement et sans s'inquiéter du pays en proportion de ce qu'ils auront eux-mêmes contribué."
Tel est l'agenga de "greffe stratégique" de Justima pour greffer sur le peu dont Haiti dispose, ces millions de personnes entraînées et ces billions de dollars dont ces nouveaux venus ont accès pour soulever les millions qui végètent en Haïti.
Justima a saisi. Justima a compris. C'est ce qui le qualifie. C'est pour cela qu'il est un "Président en attente" et que tant de gens en Haïti, surtout et sans surprise parmi ceux qui voteraient encore Aristide, et tant de gens de par le monde (qui ont découvert lors de la dernière campagne présidentille, l'attrait de sa nouveauté et de son electabilité parmi les masses urbaines, parmi les jeunes et parmi les femmes des villes,et parmi les paysans des plateaux et des plaines,)ont commencé à monter des comités de supporters de Justima pour le pousser jusqu'à la prise du pouvoir.
7- Justima, qui est très habile à faire campagne et qui n’a jamais perdu une élection, à laquelle il s'est complètement déployé avec derrière lui toutes les ressources et l'organisation qu'il faut, est perçu en tant que sang neuf et le visage de l'Haïti de demain. Il a quelque chose en lui de vision fraîche et de pureté d’âme et un autre genre de charisme qui fait tomber vos défenses et vous met en confiance, vous fait vouloir son leadership et faire confiance à son jugement et fonctionner avec lui. Vous le voyez comme l’homme des grandes synthèses qui simplifie le complexe, et l’homme qui ne trahit jamais. C’est pourquoi, il s’est toujours retrouvé dans des situations où le leadership lui a été confié volontiers, comme dans la question de monter le bloc politique "Bloc Alternatif" avec les leaders candidats à la présidence de 11 partis politiques, quand le besoin était d’être imaginatif, de forcer le destin à chaque parcours et de tout rassembler en une œuvre et produit fini dont tout le monde s’y reconnaîtrait. Il est un homme très spirituel qui prie beaucoup, un homme de famille qui deviendra dans un avenir très proche,selon bien des aveux,le Président le plus attrayant et le mieux façonné de l’après-Duvalier. Du primaire au secondaire, classe après classe, il a toujours été ou bien désigné ou bien élu président de classe, ce qui dit tout puisque rien ne vient de rien.
Justima est l'un des 3 principaux initiateurs et l'un des leaders-fondateurs du caucus ou bloc de 11 partis et formations politique dénommé " Bloc Alternatif", l'un des 4 grands blocs politiques du pays de 2006 à côté du Bloc Lavalas et de ses dérivés, de la Convention des Partis Politiquest et du Conseil National des Partis Politiques.
Justima met en place une fondation, Fondation Justima Démocratie et Développement Pilote, pour: 1) Permettre à la population de respirer sous le poids des prix de produits de premières nécessités. 2) Pour prendre 3 problèmes du pays et commencer sur le terrain et concrètement la matérialisation pilote du développement qui transforme physiquement chaque de ces 3 domaines et les altère drastiquement ainsi que la vie des masses qui en dépendent. 3) Pour intégrer le peloton de tête de ceux qui usent un nouveau style de leadership de possibilités du 21ième siècle pour promouvoir les politiques publiques en faveur de la justice sociale et de la justice économique, en faveur de l'économie qui rime avec écologie, et en faveur du développement réel et durable des communautés et des gens pauvres; de telles politiques publiques innovantes découlant d'une approche néo-développementiste intégrale qui prend un problème sous tous ses aspects pour le résoudre et le résoudre définitivement.
Justima, appelé par ses intimes ou bien “PDG ou ‘‘Prezidan Tima”, est un homme qui adore faire rire, adore chanter et danser, fin cuisinier et bon décorateur de sa maison, et le père de deux enfants.
Par Les Amis qui Poussent Justima
HAITI.2@live.com
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